Dictionnaire d'astrologie - C
Le signe astrologique du Cancer est de polarité yin. Son élément est l'eau, de mode cardinal. Vous êtes Cancer si vous êtes né(e) entre le 20, 21 ou 22 juin juin et le 22 juillet. Signe du Cancer
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Le signe astrologique du Capricorne est de polarité yin. Son élément est la terre, de mode cardinal. Vous êtes Capricorne si vous êtes né(e) entre le 21 décembre et le 19 janvier. Signe du Capricorne
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Les signes cardinaux que sont le Bélier, le Cancer, la Balance et le Capricorne, correspondent à des personnalités qui aiment entreprendre, aller de l’avant. Ils préfèrent explorer plusieurs possibilités et se tournent finalement vers une nouvelle direction, ce qui peut laisser penser que ces signes ont parfois du mal à persévérer, mais ils sont ambitieux. Ce sont des signes actifs qui aiment prendre des responsabilités, et avancent souvent en s’aidant des autres.
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Le carré est un aspect de tension entre deux planètes ou points se trouvant à 90° l'un de l'autre dans le zodiaque. Il relie deux signes d’éléments incompatibles comme par exemple le Capricorne (terre) et le Bélier (feu), mais ces deux signes fonctionnent sur un mode cardinal. L’orbe respecté est généralement de 10° pour les planètes personnelles et 6 pour les autres. Il est généralement représenté par un trait rouge reliant les deux planètes.
Cet aspect est considéré comme difficile et tendu car il met en tension les énergies planétaires impliquées, ce qui peut provoquer des conflits, des défis et des obstacles à surmonter. Il peut également indiquer des blocages et des résistances empêchant la libre circulation des énergies en jeu.
L'influence du carré dépend des planètes impliquées et de leurs significations astrologiques. Il est considéré comme un aspect mettant en évidence des défis à surmonter pour atteindre un objectif ou un but. Par exemple, un carré entre Mars et Saturne peut indiquer une tendance à la frustration, à la colère ou à la violence, ainsi qu'une difficulté à surmonter les obstacles dans l'action ou la réalisation des objectifs. Un carré entre Vénus et Pluton peut indiquer une tendance à l'obsession, à la jalousie ou à la manipulation dans les relations, ainsi qu'une difficulté à transformer ces tendances en quelque chose de positif.
Le carré peut donc indiquer des blocages nécessitant une attention particulière et une résolution afin de libérer l'énergie et atteindre une plus grande harmonie, comme un défi.
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L'influence du carré dépend des planètes impliquées et de leurs significations astrologiques. Il est considéré comme un aspect mettant en évidence des défis à surmonter pour atteindre un objectif ou un but. Par exemple, un carré entre Mars et Saturne peut indiquer une tendance à la frustration, à la colère ou à la violence, ainsi qu'une difficulté à surmonter les obstacles dans l'action ou la réalisation des objectifs. Un carré entre Vénus et Pluton peut indiquer une tendance à l'obsession, à la jalousie ou à la manipulation dans les relations, ainsi qu'une difficulté à transformer ces tendances en quelque chose de positif.
Le carré peut donc indiquer des blocages nécessitant une attention particulière et une résolution afin de libérer l'énergie et atteindre une plus grande harmonie, comme un défi.
Une planète « en chute » se trouve dans le signe opposé à son lieu d’exaltation. C’est le cas de Vénus en Vierge ou de Mars en Cancer, par exemple.
L’influence de la planète s’en trouvera amoindrie ou dénaturée. Pour reprendre un des exemple donné, Mars en Cancer voit l’énergie du natif, non plus
exprimée vers l’extérieur mais plutôt érigée en défense, en barrière de la personnalité. De même Vénus en Vierge peut confondre l’amour des gens avec
l’amour des choses ou des idées (c’est ainsi que beaucoup de porteur d’une Vénus en Vierge sont des théoriciens, des amoureux de la forme et de l’idée
mais souvent pris en défaut pour exprimer avec naturel les valeurs de don de soi et de réceptivité.
Source : http://www.autourdelalune.com/lexique-astrologique/exil.html
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Source : http://www.autourdelalune.com/lexique-astrologique/exil.html
Les signes sont classés en plusieurs catégories. On distingue d’abord six signes masculins ou yang, puis six signes féminins ou yin.
Vient ensuite un autre classement où l’on trouve quatre signes cardinaux, quatre signes fixes et quatre mutables.
Vient en dernier lieu le classement selon le principe des quatre éléments où l’on trouve trois signes de feu, trois signes de terre, trois d'air et trois d'eau.
Le signe du Cancer par exemple, est un signe féminin, cardinal d'élément eau. Le Verseau est un signe masculin, fixe d'élément air.
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Vient ensuite un autre classement où l’on trouve quatre signes cardinaux, quatre signes fixes et quatre mutables.
Vient en dernier lieu le classement selon le principe des quatre éléments où l’on trouve trois signes de feu, trois signes de terre, trois d'air et trois d'eau.
Le signe du Cancer par exemple, est un signe féminin, cardinal d'élément eau. Le Verseau est un signe masculin, fixe d'élément air.
La conjonction est un aspect entre deux planètes ou points du thème, qui se trouvent à la même position zodiacale ou très proches l'une de l'autre. Généralement, l’orbe, c'est-à-dire l’écart entre ces deux planètes est d’environ 15 degrés si la Lune ou le Soleil est impliqué dans l’aspect, sinon 12° pour les planètes personnelles (exemple : Mercure-Mars ou Mercure-Uranus) et 8° pour les autres (exemple : Jupiter-Uranus). La conjonction est la plus puissante et la plus intense de tous les aspects.
Son influence dépend des planètes impliquées, de leurs énergies et de leurs significations. En général, une conjonction indique une fusion ou une intensification des énergies représentées. Elle peut également indiquer une forte focalisation sur les thèmes représentés par les planètes impliquées.
Une conjonction peut avoir des influences positives ou négatives en fonction de la nature des planètes, si elles sont amies ou ennemies, et de leur position dans le thème natal. Par exemple, une conjonction entre le Soleil et Mercure peut indiquer une forte intelligence, une grande clarté de pensée et une bonne communication, tandis qu'une conjonction entre Mars et Pluton peut indiquer une tendance à la colère, à l'agressivité et au pouvoir. Il peut aussi y avoir le cas où deux planètes en conjonction sont dans un signe différent, comme dans l’exemple ci-dessous où Mars à 26° dans le signe du Scorpion est conjoint à Neptune à 3° dans le signe du Sagittaire. Elles auront des difficultés à unir leurs énergies pour les mettre en commun.
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Son influence dépend des planètes impliquées, de leurs énergies et de leurs significations. En général, une conjonction indique une fusion ou une intensification des énergies représentées. Elle peut également indiquer une forte focalisation sur les thèmes représentés par les planètes impliquées.
Une conjonction peut avoir des influences positives ou négatives en fonction de la nature des planètes, si elles sont amies ou ennemies, et de leur position dans le thème natal. Par exemple, une conjonction entre le Soleil et Mercure peut indiquer une forte intelligence, une grande clarté de pensée et une bonne communication, tandis qu'une conjonction entre Mars et Pluton peut indiquer une tendance à la colère, à l'agressivité et au pouvoir. Il peut aussi y avoir le cas où deux planètes en conjonction sont dans un signe différent, comme dans l’exemple ci-dessous où Mars à 26° dans le signe du Scorpion est conjoint à Neptune à 3° dans le signe du Sagittaire. Elles auront des difficultés à unir leurs énergies pour les mettre en commun.
On appelle planète culminante celle qui passe au Milieu du Ciel (M.C.) ou, par extension, celle qui est au plus près du MC qu'elle soit orientale ou
occidentale.
L'expérience semble démontrer qu'un astre en maison IX agit plus fortement qu'en maison X (MC).
Il en serait de même pour une position en XII qui semble également primer sur une position en I (AS), surtout si la distance séparant la planète de la cuspide de la I (ou de la X) est faible (voir cuspide).
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L'expérience semble démontrer qu'un astre en maison IX agit plus fortement qu'en maison X (MC).
Il en serait de même pour une position en XII qui semble également primer sur une position en I (AS), surtout si la distance séparant la planète de la cuspide de la I (ou de la X) est faible (voir cuspide).
C'est le degré de l'écliptique qui marque le commencement d'une maison.
Lorsqu'une planète se situe dans le voisinage d'une cuspide (je recommande un orbe de 6° maximum), mais qu'elle est encore dans la maison précédente, on peut considérer cette planète comme agissant déjà sur la maison suivante.
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Lorsqu'une planète se situe dans le voisinage d'une cuspide (je recommande un orbe de 6° maximum), mais qu'elle est encore dans la maison précédente, on peut considérer cette planète comme agissant déjà sur la maison suivante.
Chaque planète de notre système solaire doit son mouvement à la force d'attraction de la masse solaire, combinée à la force de gravitation de la masse
planétaire. Les cycles planétaires traitent des rythmes appartenant à notre environnement céleste. Il s'agit ici des transits de répétition concernant les
aspects qu'une planète va faire à elle-même par rapport au thème natal, par conjonction, sextile, carré, trigone ou opposition. Nous vivons tous certains
transits au même âge : le retour de Jupiter à 12, 24, 36, 48 ans ; le retour de Saturne à 29 ans 1/2 environ, son opposition à 15 ans, puis à 44 ans, etc.
L'interprétation de ces transits s'effectue sur la base des significations respectives de chaque planète dans le thème natal.
A. RUPERTI s'exprime en ces termes en décrivant le phénomène du cycle : Un cycle est une structure formelle du temps. C'est le contexte dans lequel prend place le changement. Bien qu'un cycle ait un début et une fin repérable, il est erroné de l'interpréter comme un éternel retour : commencement, fin et nouveau commencement. Une telle appréhension des cycles, en astrologie, conduirait à les considérer comme des suites répétitives d'événements. Ce n'est pas la réalité; bien que le schème de son déroulement, du début à la fin, se répète, les contenus d'un cycle - les changements d'état, les événements ou expériences contenus dans sa durée - ne se répètent jamais exactement. Le jour forme un cycle reconnaissable. C'est une structure de temps dont la forme est déterminée par une rotation axiale de la terre en vingt-quatre heures. En même temps, le jour est aussi une partie du cycle de lunaison, repérable aux phases de la Lune; cycle qui mesure la relation soli-lunaire, d'une nouvelle Lune à la suivante; et ces deux cycles sont eux-mêmes compris dans d'autres cycles. C'est cette inter-relation entre cycles qui fait l'unicité spécifique de chaque moment et, en même temps, les relie ensemble dans un ordre rythmique. (Les cycles du devenir - éd. du Rocher).
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L'interprétation de ces transits s'effectue sur la base des significations respectives de chaque planète dans le thème natal.
A. RUPERTI s'exprime en ces termes en décrivant le phénomène du cycle : Un cycle est une structure formelle du temps. C'est le contexte dans lequel prend place le changement. Bien qu'un cycle ait un début et une fin repérable, il est erroné de l'interpréter comme un éternel retour : commencement, fin et nouveau commencement. Une telle appréhension des cycles, en astrologie, conduirait à les considérer comme des suites répétitives d'événements. Ce n'est pas la réalité; bien que le schème de son déroulement, du début à la fin, se répète, les contenus d'un cycle - les changements d'état, les événements ou expériences contenus dans sa durée - ne se répètent jamais exactement. Le jour forme un cycle reconnaissable. C'est une structure de temps dont la forme est déterminée par une rotation axiale de la terre en vingt-quatre heures. En même temps, le jour est aussi une partie du cycle de lunaison, repérable aux phases de la Lune; cycle qui mesure la relation soli-lunaire, d'une nouvelle Lune à la suivante; et ces deux cycles sont eux-mêmes compris dans d'autres cycles. C'est cette inter-relation entre cycles qui fait l'unicité spécifique de chaque moment et, en même temps, les relie ensemble dans un ordre rythmique. (Les cycles du devenir - éd. du Rocher).